Jusqu’où irait Fayulu, en sillonnant les provinces du territoire national, pendant qu’il perd, de plus en plus, des béquilles dans ses propres rangs? Alors qu’il réclame, à cor et à cri, justice auprès du peuple congolais, de Kinshasa à Butembo-Beni-Goma et consorts, côté pouvoir, on ne s’empêche d’ironiser : ‘‘le chien aboie, la caravane passe’’.